Autres articles dans cette rubrique
- n°40 : Apprendre à désobéir
- N°11 : Le salaire de la peur
- N°39 : Balade en renaissance, entre l’éden et le paradis
- N°37 : On a bon d’écouter ça !
- N°31 : Amma Mia !
- N°30 : Changement de voies (première étape)
- N°26 : Carnets d’un garde-chasse
- N°41 : Plus vert que vert
- N°27 : Le train du blues
- N°21 : En bateau ou en paquebot
- N°34 : Sans emploi
- N°15 : Choisir sa route
- N°14 : Insup-portables ?
- N°18 : Les abeilles meurent aussi (Part 1)
- N°19 : Les abeilles meurent aussi (Part 2)
- N°20 : Et si le trajet faisait déjà partie du voyage ?
- N°38 : Dans les cimetières de l’OTAN
- N°25 : Catastrophes et bonnes nouvelles
- N°16 : Parce que la musique adoucit les moeurs
- N°36 : Qui sème le vent, récolte le tempo
- N°13 : Les nourriciers
- N°23 : UHT (Ultra Haute Température)
- N°22 : Traces de démarche
- N°32 : Amma mia : the revange
- N°3 : Le surendettement
- N°35 : Le facteur ne sonnera jamais plus deux fois ?
- N°5 : La pub et le service public.
- N°4 : La marche pour la décroissance (Part 2)
- N°9 : L’économie aujourd’hui : une imposture intellectuelle
- N°8 : L’école mutuelle
- N°1 : Les objecteurs de croissance en Belgique
- N°6 : Le développement en question
- N°7 : Pierre RABHI
- N°33 : Décroître aujourd’hui, entre mythe et réalité
- N°12 : La RTBF fait de la propagande
- N°17 : Vérité et opinions
- N°28 : Alors, l’idée c’est quoi ?
- N°29 : Le hêtre ou le néant ?
- N°10 : Des savoir-faire à faire savoir
- N°24 : Le retour à la terre
- N°42 : S’activer
- N°43 : Vous avez la monnaie ?
- n°44 : Le droit au logement, entre préoccupation et action collectives
- n°45 : Pédagogie nomade, une école à vivre
- N°46 : Les enfants de la crise
- N°47 : Roger had a farm
- N°48 : Les Daltons
- N°49 : Comment il faut faire pour vivre ?
- N°50 : ... jusqu’à mon dernier souffle
- N°51 : L’identité nationale : une identité criminelle ou vivante ?
- N°52 : Tribute to André Gorz
- N°53 : Héritiers des Luddites
Recherche
N°2 : La marche pour la décroissance (Part 1)
Traces sonores de la première semaine de la marche pour la décroissance.
Pendant un mois, entre 70 et 220 marcheurs, dont une majorité de jeunes, ont participé à la Marche pour la décroissance entre Lyon et Nevers. Une grande expérience d’autogestion et de convivialité. Le dimanche 3 juillet, ce sont plus de 500 personnes qui ont défilé sur 15 km pour demander la suppression du Grand Prix de France de Formule1, paroxysme de la pollution et du gaspillage ; symbole de notre société de croissance mortifère. Hervé a passé 2 fois une semaine parmi les marcheurs pour échanger, débattre, s’organiser et passer de bons moments.
